Elle fut nominée à quatre reprises à l’oscar de la meilleure actrice mais ne le remporta jamais, à l’exception d’une distinction honorifique en toute fin de carrière. Et pourtant avec sa voix rauque et son accent de Brooklyn, Barbara Stanwyck fut une des plus grandes stars d’Hollywood pendant plus de trois décennies, parfois la mieux payée mais surtout souvent la mieux à même de servir les metteurs en scène qui comptent, de John Ford à Howard Hawks, de Billy Wilder à Cecil B De Mille…En se penchant sur six films qu’elle interpréta dans les années 40 et 50, les piliers du Salon commentent aussi la variété des facettes de l’actrice, incarnation du film noir mais toute aussi à l’aise dans le western et dans la comédie musicale, avec bien sûr la diversité des talents qui accompagnent chaque composition, qu’elle soit signée Capra, Litvak, Siodmak ou Mann. Pour les aider dans cet exercice, ils ont convié Antoine Sire, auteur de l’indispensable Hollywood Cité des Femmes à venir de son côté définir ce qui fit de Ruby Stevens, enfant de New York, Barbara Stanwyck, pilier du cinéma classique.


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