Notre entretien avec… Anna Polina




Comment échapper à un serial killer caché dans un multiplexe ? À un alligator toxique qui déambule dans le centre-ville ? À un dealer recherché qui se réfugie dans votre appart ? À Sly Stallone et David Carradine qui jouent à GTA dans le futur et ramassent des points en vous écrasant ? À un vieux mentaliste laissé pour mort dans un crématorium ? Aux sangsues et aux gardiens moustachus sadiques d’un bagne marécageux ? Vous le saurez en matant le Bistro Survivance, votre guide de survie dans ces territoires épouvantablement hostiles. Fausto, Godz et Lacogne assurent la visite.

Bernard Stora, réalisateur vedette à la télévision, se fait rare au cinéma puisque son dernier film strictement grand écran remonte à une vingtaine d’année. Villa Caprice n’en présente donc que plus d’intérêt, d’autant que le retour s’effectue en force : autant thriller politico financier que confrontation psychologique, le film est aussi l’affrontement entre un homme d’affaires et son avocat, entre deux immenses acteurs également, Niels Arestrup et Patrick Bruel. De ce nouveau film oh combien remarqué lors de sa sortie en salles, Bernard Stora a bien voulu s’entretenir avec Yves Alion sur le plateau de FilmoTV, de ce film mais aussi de ses précédents ainsi que de ses débuts, car Bernard Stora a aussi assisté certain noms mythiques de l’histoire du cinéma, de Melville à Verneuil en passant par Gérard Oury et Jean-Paul Rappeneau.

Les réseaux sociaux n’ont de sociaux que le nom. La grande révolution de la communication du 21ème siècle est une mine d’or pour les scénaristes de films de genre, offrant une approche originale aux films d’horreur, et tout particulièrement ceux dont les protagonistes sont des ados. Le bistro se penche sur cette nouvelle manière de faire peur. SMS énigmatiques, malédiction online et tueurs connectés sont décryptés par nos avatars Mélanie Boissonneau, Christophe Lemaire et Erwan Chaffiot. Et bien entendu, si vous êtes toujours vivant, n’oubliez pas de liker, commenter et partager !



Après l'excellent La Loi de Téhéran, le brillant cinéaste Saeed Roustaee revient cette fois-ci sur une famille au bord de la crise de nerfs avec Leïla et ses frères. Passé par la compétition cannoise, le film prouve une nouvelle fois tout le talent de ce réalisateur d'une trentaine d'années qui nous parle ici de mise en scène, de sa manière de bâtir un scénario sur une idée et de famille.

De Murnau à Bergman, du Cuirassé Potemkine à Umberto D, de l'Allemagne expressionniste au cinéma-néo réaliste, le Salon de Filmo se penche sur quelques grands films du Patrimoine. Didier Philippe-Gérard, Charles Nemès et Denis Parent se baladent parmi les chefs d'œuvres pour constater, une fois de plus, qu'ils sont toujours des chefs d'œuvres.
