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LE BISTRO : TERREUR EN RÉSEAUX

Les réseaux sociaux n’ont de sociaux que le nom. La grande révolution de la communication du 21ème siècle est une mine d’or pour les scénaristes de films de genre, offrant une approche originale aux films d’horreur, et tout particulièrement ceux dont les protagonistes sont des ados. Le bistro se penche sur cette nouvelle manière de faire peur. SMS énigmatiques, malédiction online et tueurs connectés sont décryptés par nos avatars Mélanie Boissonneau, Christophe Lemaire et Erwan Chaffiot. Et bien entendu, si vous êtes toujours vivant, n’oubliez pas de liker, commenter et partager !

LE BISTRO : BAD TRIPS

Mangez des bulots hallucinogènes ! Essayez de rester éveillé pendant une semaine ! Transmutez-vous en cyborg priapique ! Découvrez ce qu’il y a tout au bout de Pac-Man !  Assistez à un meurtre lesbien sous LSD ! Tripez avec Jane Birkin au Népal ! Connectez-vous avec votre futur assassin !  Pratiquez l’occultisme !! Voyagez dans le temps !! Bref, préparez-vous à changer de corps. En plus, le bad trip ne sera pas trop rude car nos garçons sauvages Willy, Fausto et Godzilla vous guideront dans l’interzone. Rien n’est vrai. Tout est permis. Vous êtes dans le Bistro. Trop fort. 

Notre entretien avec… Saeed Roustaee

Après l'excellent La Loi de Téhéran, le brillant cinéaste Saeed Roustaee revient cette fois-ci sur une famille au bord de la crise de nerfs avec Leïla et ses frères. Passé par la compétition cannoise, le film prouve une nouvelle fois tout le talent de ce réalisateur d'une trentaine d'années qui nous parle ici de mise en scène, de sa manière de bâtir un scénario sur une idée et de famille. 

Notre entretien avec… Guillaume Nicloux

Guillaume Nicloux, le réalisateur du Poulpe ou de La clef nous parle de son nouveau film, La tour. Un film d'horreur apocalyptique dans lequel il réinvente et étudie une société en crise. Et il évoque les films du Festival qui lui est consacré, notamment L'enlèvement de Michel Houellebecq et Thalasso, son travail avec l'auteur des Particules élémentaires ou avec Gérard Depardieu avec qui il a travaillé trois fois. Un cinéaste bien singulier.

LE BISTRO : ARMES BLANCHES

Perforantes, tranchantes, brisantes. Au Bistro, on aime les armes blanches ! Vous serez gâtés ce mois-ci. Avec un Père-Noël qui ne débite pas que du bois de chauffage avec sa hache, un chevalier qui manie l’épée magique à trois lames, des vikings herculéens qui tranchent les pierres, un spectre rouge qui lacère son monde au poignard, de sales quidams qui corrigent une sorcière locale à coups de chaîne et même un psycho qui épingle des lycéennes à la perceuse géante. Polars, gialli, péplums, slashers : un Bistro qui transperce tous les genres ! 

Notre rencontre avec… Gilles de Maistre

Grand reporter, titulaire du fameux prix Albert Londres pour son documentaire "J'ai douze ans et je fais la guerre", Gilles de Maistre est passé à la réalisation de fiction et a connu de grands succès internationaux avec "Mia et le lion blanc" puis "Le loup et le lion". Lanceur d'alerte, écologiste, humaniste, star des enfants, le cinéaste vient se raconter sur Filmo face à Denis Parent.

Des cinéastes vous conseillent…

Quand un cinéaste rencontre un autre cinéaste, qu’est-ce qu’ils se racontent ? » Une nouvelle illustration de la chanson de Maurice Chevalier, une illustration en films mais aussi en paroles. Elle constitue la troisième émission du genre, organisée conjointement par l’ARP, la société civile des Auteurs Réalisateurs Producteurs français et par Filmo, une nouvelle occasion d’entendre parler de cinéma par ceux qui en font. Ont accepté cette fois l’invitation d’une part Baya Kasmi, scénariste et réalisatrice – on se souvient de « Je suis à vous tout de suite », et de Philippe le Guay, lui aussi scénariste, lui aussi réalisateur, notamment des « Femmes du 6ème étage » et de « Alceste à bicyclette ». A tous les deux fut confiée une longue liste des films dont les abonnés de Filmo sont familiers, mais aussi d’en retenir chacun quatre titres dont ils avaient envie de parler. Ce qui est désormais chose faite sous le regard conjointe de Jean Achache  et de Jean Ollé Laprune, en charge d’encadrer les échanges (à supposer d’ailleurs  qu’ils en aient besoin !)