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LE BISTRO : FOUND FOOTAGE

Année 2082, Paris : Alors que des ouvriers déplaçaient le bar du bistro de l’horreur pour y mettre un open space de start up dédié à l’intelligence artificielle, ils ont trouvé, incrusté dans le sol, une vieille carte mémoire. Celle-ci contenait les images déroutantes de trois journalistes discutant à bâtons rompus d’un genre cinématographique bien particulier de la première décennie des années 2000 : le found footage. L’image et le son étaient détériorés, mais on pouvait quand même y entendre clairement les titres de quelques films comme REC, Open Water 3 ou encore Diary of the dead. Cette relique du passé a été mise en ligne par souci historique, même si les individus présents sur la vidéo ne semblent pas être saint d’esprit.

Notre entretien avec… Laurent Tirard

Étudiant à New York et Hollywood, journaliste et critique à Studio Magazine, Laurent Tirard se lance, au tournant du siècle, dans l'écriture de scénario. Puis il passe à la mise en scène. Molière, le Petit Nicolas, Le retour du héros montrent sa passion pour le cinéma français grand public. Neuf films plus tard il vient parler de son parcours et de son petit dernier "Le discours". Histoire d'un cinéphile devenu cinéaste.

LE BISTRO : L’ENFER SUR TERRE

Il existerait 7 portes de l’enfer sur Terre. Saviez-vous que l’une d’entre elles se situe dans le bistro de l’horreur ? Plus exactement sous la trappe derrière le comptoir ! Après être resté fermé pendants des siècles, ce passage vers les limbes a été de nouveau invoqué par Christophe Lemaire, François Cognard et Erwan Chaffiot afin de vous en présenter les pires abominations. Joignez-nous donc pour cet apéro brûlant entourés de cénobites, de croque morts, de sphères tueuses, d’asticots et autres écorchés. Que le bal des maudits commence !

Notre entretien avec… Nils Tavernier

Élevé dans une tradition familiale de cinéma, Nils Tavernier évolue depuis le début de sa carrière entre la fiction et le documentaire. Tourné à Kinshasa, Ima, son dernier film en date, se situe au point de rencontre des deux, montrant une rencontre entre une star de la musique, Dadju, et une jeune fille, sur fond de tumulte urbain dans une ville pas comme les autres. Une ville qui a engendré un tournage pour le moins singulier que le réalisateur a bien voulu évoquer pour Filmo face à Emmanuelle Sterpin. Une occasion sûre de parler d’un film surprenant. Une occasion également de revenir sur la carrière d’un réalisateur au travers de quelques uns de films, De toutes nos forces (2010) et L’incroyable histoire du facteur Cheval, des moments de cinéma qui, le reconnaît-il, ont en commun de parler d’exclusion.

LE BISTRO : JEUX D’ENFANTS

S’il y a bien un cliché qui est erroné, c’est que nos chères têtes blondes sont le symbole de l’innocence. Le bistro Jeux d’enfants se penche sur les pulsions et pensées les plus sombres de nos bambins.
Que ceux-ci soient dus à un contexte social déstabilisant (Children, Léolo), un déséquilibre mental (5 fois la mort) ou un don à voir l’indicible (L’Échine du diable, Le Pensionnat, Two eyes Staring), les gamins tordus sont les stars du mois et les adultes n’y ont pas leur place.

Notre entretien avec… Jérôme Salle

De Largo Winch à l’Odyssée en passant par Zulu, le cinéma de Jérôme Salle voyage beaucoup. Le dernier film en date Kompromat s’inscrit dans cette famille en démarrant son intrigue à Irkoutsk ou un expatrié français se retrouve en 2017 emprisonné du jour au lendemain de façon arbitraire avec pour seule perspective raisonnable de s’évader du pays. Co écrit avec Caryl Férey, Kompromat est tourné en Lituanie, imperméable au COVID quand l’équipe s’y installe avant que la pandémie rattrape le pays de façon violente et en contraigne chaque membre à s’isoler dans sa chambre. Une épreuve qui nourrira le personnage incarné par Gilles Lellouche, explique Jérôme Salle venu sur le plateau de FILMO parler devant Stéphane Boudsocq de ce 6ème long métrage et de son tournage pas comme les autres. De lui, mais également de ceux qui l’ont précédé, une occasion d’évoquer aussi bien Sharon Stone à Bruxelles que Pierre Niney en Antarctique.

LE BISTRO : J’AI SIGNE AVEC LE DIABLE

Le bistro de l'horreur se penche ce mois-ci sur la star absolue du cinéma d'épouvante : Satan ! A travers six films, nous suivront le grand malin jouer avec les mortels en leur promettant toutes les merveilles du monde tout en les plongeant dans leurs pires cauchemars. On ne fait pas un pacte avec le diable sans y laisser des plumes, des membres et sa santé mentale. Nous verrons également que le concept du diable peut se décliner de toutes les manières : horreur classique, comédie musicale baroque, thriller urbain ou comédie gore potache. Le mal est partout et prend toutes les formes !