Dramaturge, acteur, scénariste et metteur en scène reconnu, Alexis Michalik a remporté 5 Molières dont trois en tant que metteur en scène sur huit nominations. Rencontre.

Michel Hazanavicius aime le cinéma. Il l’a prouvé en signant des films qui, au-delà du seul spectacle, sont aussi des déclarations d’amour à ceux qui font des films, que ce soit The Artist (et son regard sur le cinéma muet), le Redoutable (consacré à Jean-Luc Godard) ou enfin son tout dernier en date, Coupez. A l’origine de celui-ci, un succès inattendu au Japon datant de 2017, Ne coupez pas, consacré à un film en train de se tourner, et pas n’importe quel film puisqu’il parle de zombies. Un film sur les aléas et les noblesses des métiers du cinéma. Un film, mais aussi une structure scénaristique inédite que Michel Hazanavicius a repris à son compte en lui procurant une nouvelle profondeur. C’est de ce projet hors norme que Michel Hazanavicius est venu parler à Filmo face à Carlos Gomez.

Il est le réalisateur et acteur de Wahou !, on lui doit Les 2 Alfred; Bécassine, Liberté-Oléron... Bruno Podalydès est l'un de nos plus grands artisans comiques, et se livre ici, au micro du journaliste Alex Masson, sur sa méthode, son jeu, et sa grande passion pour le RER.

Quand l’Histoire rencontre le cinéma, et réciproquement : un lien ancestral sur lequel beaucoup de metteurs en scène parmi les plus grands, de Renoir à Melville en passant par Tavernier ont travaillé afin de proposer des visions certes personnelles de notre passé mais ne heurtant pas les connaissances que nous pouvons avoir de tel ou tel évènements. Gabriel Le Bomin est avant tout cinéaste, il a aussi réalisé par exemple un film policier, mais le récent succès de son De Gaulle – exceptionnel Lambert Wilson ! – nous rappelle que sa vision de l’Histoire est au centre de la problématique qu’il développe, sur ce que les faits nous disent aujourd’hui mais aussi sur la façon de les montrer quelques décennies plus tard sur un écran. C’est de ce lien que Gabriel Le Bomin s’entretenir avec Yves Alion, sur la façon avec laquelle il a su s’en servir pour raconter ses histoires, avec ou sans majuscules d’ailleurs.